Cet Hiver, Cent Neuf vous transporte d’Est en Ouest et vous ramène dans ses valises une collection riche, aux inspirations exotiques, pleines de souvenirs puisés du fin fond de la Toundra aux vallées de l’Utah. Cette dernière collection de l’année est une célébration audacieuse, née de la collision poétique entre deux mondes opposés : l'âpreté du Far West américain et l'élégance sublime des ballets russes. Inspirée par l'horizon infini des plaines et la puissance d'une danse aux mille nuances, elle incarne un jeu de contrastes où force brute et raffinement cohabitent pour vous offrir le meilleur des deux mondes, et de la seconde main.

Pour l’Automne-Hiver 1976 puis 1979, Monsieur Saint Laurent invitait les couleurs chatoyantes des peintres orientalistes dans une collection riche en textiles luxueux - velours, fourrures, soies et lamé or - et invitait le monde des Ballets Russes de Diaghilev dans les salons de couture parisiens. En 2024, Cent Neuf reprend ce voyage et ce mélange raffiné de broderies complexes qui dansent sur la soie, des velours virevoltants qui attrapent tous les poils des peaux lainées et des fourrures qui nous recouvrent à Paris comme en Sibérie.

Cent Neuf prolonge aussi ce voyage - et renouvelle son ESTA - pour vous transporter dans le Far West américain. Imprégnés de l'esprit indompté des cowboys, nos vêtements capturent l'âme de ces pionniers qui vivaient selon leurs propres règles. Les silhouettes sont amples et dynamiques, rappelant la liberté d'une chevauchée à travers des terres sans fin. Les matières brutes, comme le denim revisité, la flanelle ajustée, et le cuir patiné, témoignent de la résilience et de la robustesse propres à cet univers.

Cet hiver, on répond à l'appel du grand froid en se ruant vers l’Or. Porter ces vêtements, c’est revendiquer sa propre histoire.. une où l'audace rencontre l'élégance, et où chaque détail raconte une nouvelle aventure. Dans ce nouveau volume, laissez-vous emporter par cette rencontre inédite, où les étoiles des grandes plaines américaines éclairent la scène des ballets impériaux, et où le pas sûr du cow-boy danse au rythme de la symphonie russe.